Avant la Berezina annoncée
Sans être catalogué de zapatiste, un changement en profondeur me semble nécessaire dans notre société à la dérive dans laquelle même les bien-pensants sombrent dans le délire. Je m’imagine plongé dans « Rhinocéros » de Ionesco, ne reconnaissant plus le visage de mes familiers qui ont basculé du côté obscur de la Force. Serai-je entouré de « monstres » ?
Des personnes que je pensais équilibrées et sincères me servent le discours servile de la soumission à la doxa. Elles se disent pourtant libres, mais des chaînes invisibles entravent leur jugement. Je ne les reconnais plus comme telles. Pourtant, je sais que ma capacité de réflexion et ma logique milite pour la raison, et que c’est la peur qui les anime. Quelle peur ? Mourir est notre fin à tous. Alors de quoi ont-elles peur ? De n’avoir plus de liberté ? Mais quelle liberté ? De voyager, de se réunir, d’aller au restaurant ou au concert ? Leur santé a-t-elle moins d’importance que ces futilités ?
Se faire injecter un produit inconnu, sans le recul nécessaire, tel que le gouvernement souhaiterait imposer obligatoirement à sa population est-il légal, légitime, garant des libertés individuelles ?
Se faire traiter de « complotiste », de traître ou de se voir menacer d’être interpellé et menotté par la police pour être conduit de force à la vaccination n’est-il pas un déni de liberté ?
Encourager la discrimination entre les sceptiques de la vaccination et les vaccinés n’est-ce pas un acte de stigmatisation d’une partie de la population, un appel au meurtre ?
Est-ce ça la France ?
Un pays où des corrompus par les laboratoires décident de la vie ou de la mort des populations, de l’empoisonnement de la jeunesse !
Ce pays-là, je le rejette.
On pourrait croire que je parle de la Chine, que nos belles âmes droit de l’hommistes critiquent allègrement.
Non, je parle bien de mon pays, la France que je ne reconnais plus.
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